L'incroyable homme qui rétrécit
L'incroyable homme qui rétrécit
$38.00

L'existentialisme fait son apparition dans cette référence de la science-fiction de l'ère atomique, une adaptation superlative d'un roman du légendaire Richard Matheson qui a impressionné et énervé des générations de téléspectateurs avec la question : Quelle est la place de l'humanité au milieu de l'infinité de l'univers ? Six mois après avoir été exposé à un mystérieux nuage de radiations, Scott Carey (Grant Williams), un banlieusard, se retrouve de plus en plus petit. . . et plus petit. . . et plus petit, jusqu'à ce qu'il soit livré à lui-même dans un monde dans lequel les chats ordinaires, les pièges à souris et les araignées constituent une menace mortelle, tout en étant aux prises avec une perception décroissante de lui-même. Réalisé par le prolifique imprésario de longs métrages de créatures Jack Arnold avec des effets optiques ingénieux et une fin métaphysique transcendante, L'incroyable homme qui rétrécit regarde avec émerveillement et appréhension l’immensité inconnaissable du vide cosmique.

INFORMATIONS SUR LE FILM

  • États-Unis
  • 1957
  • 81 minutes
  • Noir blanc
  • 1,85:1
  • Anglais
  • Dos #1100

CARACTÉRISTIQUES SPÉCIALES

  • Nouvelle restauration numérique 4K, avec bande son monaurale non compressée sur Blu-ray
  • Nouveau commentaire audio mettant en vedette l'historien du cinéma de genre Tom Weaver et l'expert en musique d'horreur David Schecter
  • Nouveau programme sur les effets spéciaux du film par les experts en effets Craig Barron et Ben Burtt
  • Nouvelle conversation entre le cinéaste Joe Dante et la comédienne et écrivaine Dana Gould
  • Auteur sur le campus : Jack Arnold chez Universal (Director's Cut) (2021)
  • Entretien de 2016 avec Richard Christian Matheson, fils du romancier et scénariste Richard Matheson
  • Entretien de 1983 avec le réalisateur Jack Arnold
  • Version home-cinéma 8 mm de 1969
  • La musique perdue de "L'incroyable homme qui rétrécit"
  • Bande-annonce et teaser racontés par le cinéaste Orson Welles
  • PLUS : Un essai du critique Geoffrey O'Brien

    Nouvelle couverture d'Adam Maida
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